dimanche 17 juillet 2016

La route du soi

Cela s'appelle "La route du soi".

J'ai déjà plus ou moins écouté les deux premières émissions.

Celle d'aujourd'hui je l'ai prise "en route" et je n'en ai entendu que la moitié.
A réécouter, car cela m'a beaucoup parlé, surtout après ce week-end de yoga que je viens de vivre.

Si vous avez envie de faire le(la) curieux(se), c'est ici .

...Parce que comme l'a écrit Célestine, le petit ressort n'est pas cassé malgré ce triste 14 juillet.

2 commentaires:

  1. Oh Suzame, tu es trop gentille de me citer...
    Cela me tient tellement à coeur, cette recherche de l'amour en soi pour pouvoir rayonner.
    J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
    J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel

    Bisous ma douce
    ¸¸.•*¨*• ☆

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    Réponses
    1. Il y a eu cet événement que j'ai appris via toi sur internet.
      Il y avait ma fille avec moi. Nous en avons parlé un peu.

      Puis je suis partie en Normandie à un stage de yoga. Une bulle de sérénité, de conscience de soi. Je n'ai pas entendu, lors des conversations, d'évocation de cet événement terrible.

      Puis je suis retournée dans ma Bretagne avec un CD de harpe celtique pour compagnon.
      Puis je suis arrivée chez moi, j'ai allumé la radio et j'ai entendu cette femme parler du soi et du moi... et cela m'a parlé.
      Puis je suis allée faire mon petit tour de blogs et je t'ai lue.
      Puis j'ai été incapable de réagir par un commentaire.

      Puis j'avais la volonté de partager cette émission de radio, mais je voulais aussi te laisser un signe pour que tu saches que je n'étais pas indifférente au drame qui a touché ta ville de coeur et ses habitants.

      Alors voilà c'est venu tout naturellement sans réfléchir.
      Tu le mérites Madame La Fée et tes mots ci-dessus le
      confirment.

      Belle journée à toi ¸¸.•*¨*• ☆ Que ton petit ressort bondisse dans la joie, la générosité, l'apaisement... tout ce que tu es et qui fait que tu as des lecteurs attentionnés et fidèles... et certainement des amis solides dans la vraie vie.

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Réflexion pêle-mêle

 Quand on est quitté-e  c'est comme se retrouver dans un désert sans gourde d'eau. Plus de partage, plus de toucher, plus de caresse...