Se réveiller à 5 h du matin ! La guigne !
Se lever à 8 - A 9 h 45 être dehors, marcher le long de la rivière, dans le bois, aller saluer mes arbres. Ralentir le pas pour profiter le plus possible.
Après ? Après... ce fut un long dimanche de confinement.
Tu as pu marcher le long de la rivière, aller dans le bois, saluer tes arbres. Souviens-toi de ces bons moments et de cette communion avec la nature, Suzame (sourire).
RépondreSupprimerOui bien sûr Françoise. Je m'en souviens. Cette privation de liberté de mouvement imposée par le confinement me pèse énormément.
SupprimerEt si les français s'habituaient insidieusement à toutes ces restrictions. Déjà plus personne n'applaudit le personnel soignant à 20 h.... comme si c 'était devenu la norme de vivre avec ce virus et d'être confinés.
Je suis à la fois triste et en colère.
Regarder la rivière couler mais ne pas laisser sa vie s'écouler.
RépondreSupprimerChoisir un long dimanche rempli chez soi de bonnes choses.
AlainX. Un joli dimanche tranquille choisi en toute liberté peur être ce qu tu écris. Et j'en vis régulièrement des comme ça et je choisis de les vivre comme ça.
SupprimerDimanche dernier je n'ai pas choisi. Je le suis adaptée par contrainte.
« Dimanche dernier je n'ai pas choisi. Je le suis adaptée par contrainte. ».
RépondreSupprimerje comprends très bien ce que tu dis.
Comment transformer une contrainte en opportunité.
Avec mes accidents de santé et tout ce qui s'en est suivi, je crois que peu à peu j'ai appris cela : tel truc mais désormais interdit ? Ça ne fait rien, je vais construire un autre espace pour ma liberté.
Un espace intérieur, au creux de son âme et de son cœur.
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