samedi 16 février 2019

Vide

Pour une fois ne pas y aller seule
Pour une fois
Et pourtant ce fut pénible.
Peu d'interactions
La tristesse dans son regard
Peu de paroles
Ormis celles oú elle s'est plainte
Aucun sourire
Juste un baiser consenti au moment de partir.

Pour cela et pour autre chose aussi
En moi se trouve un grand vide
Une sournoise mélancolie

J'ai mal à mon âme.



5 commentaires:

  1. Faites de ce mal votre alliée, comme l'on nage dans le courant ; et non contre lui... Laissez-le vous porter et manœuvrez vers un rivage rencontré...
    (Peut-être saisirez-vous ma métaphore ?)

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  2. Je comprends ce vide que tu peux ressentir, Suzame.
    Je t'embrasse très fort.

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  3. Je pense à toi. Je sais ce que tu traverses, c'est dur...
    J'ai la même.
    Bisous et tendres pensées
    •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

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  4. Arrive un temps où les mots ne sont plus.
    Seule la présence, un geste parfois.
    Et puis le silence. On apprend à l'écouter… vraiment…
    avec toi est-ce que tu traverses.

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  5. A tous !
    Merci de vos mots. C'est difficile de voir celle qui nous a mise au monde, celle qui nous a appris tellement... dans cet état de faiblesse. Où est l'intelligence ? Cachée entre le magma de neurones délités. Parfois je repars comblée par l'affection échangée, parfois je repars remplie de tristesse à la voir s'effacer.

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Au gré de vos émotions

Réflexion pêle-mêle

 Quand on est quitté-e  c'est comme se retrouver dans un désert sans gourde d'eau. Plus de partage, plus de toucher, plus de caresse...