Au profond d'une nuit sans étoiles
Dans un silence impalpable
Le temps de quelques secondes intenses
J'ai senti, ressenti
La présence de la Terre
Sa puissance calme
Sa rondeur, sa densité,
Son éternelle rotation
J'ai senti...
Et puis plus rien. Juste un écho dans mes cellules.
Je me suis dit que nous, les êtres humains , étions bien insignifiants face à cette grandeur.
Qu'au lieu de nous battre, nous combattre, nous affamer, nous mépriser, nous entretuer, courir partout, nous lamenter, nous exploiter, nous gaspiller... nous ferions bien de nous arrêter, de nous sourire, de nous émerveiller, de nous connecter à cette Terre qui malgré toutes les blessures que nous lui faisons continue sa danse autour du soleil tranquillement.
Ton texte m’a accompagnée toute la journée : il est si beau et si profond.
RépondreSupprimerTu as raison la terre est une merveilleuse maison. La seule que nous puissions habiter.
Je pense si souvent comme toi que mes hommes sont fous de s’entretuer...
Bisous de fée
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Merci Célestine. Tu es la seule à avoir commenté. Sans doute parce que c'est de l'intime de l'âme et du corps, et que seule une grande sensitive comme toi peut comprendre... Depuis quelques semaines je fais des voyages avec les éléments. Le première fois ce fut un voyage océanique (dans le cadre de la biodanza). Puis il y a eu cette rencontre avec la Terre. Dimanche dernier peut-être est-ce l'Air qui m'a de emportée vers une autre dimension.
SupprimerCela semble un peu (beaucoup) étrange mais c'est ma réalité... et c'est Cadeau.
En fait Celestine tu a essentiellement écrit sur la deuxième partie du texte et mou sur la première.
SupprimerL'une ne va pas sans l'autre pour ce qui me concerne 🙂